J'étais perdu

03/08/2012 16:44

 

=== Howard Storm ===

Howard Storm était un professeur d'art et de littérature qui était en visite à Paris avec sa classe lorsque subitement, il eut une rupture d'estomac, une rupture d'ulcère, une péritonite, un choc, une mort subite, une mort clinique, une réanimation, et qui expérimenta l'enfer.

[Howard Storm]

J'étais un professeur de collège enseignant l'art et âgé de 38 ans. J'avais emmené avec moi mes élèves inclus mon épouse faire un tour de l'Europe. Cela faisait déjà 3semaines que nous étions en Europe et ceci se produit à l'avant dernier jour de notre tournée en Europe.

Pendant que nous étions à Paris, à 11 heure dans la matinée ce jour là, j'eus une perforation d'estomac. Lorsque cela arriva, j'eus la douleur la plus aigu que je n’ai jamais expérimenté de ma vie, et qui me précipita directement par terre. Alors je me mis à me torturer, à m'écrier, à grogner, à cogner et à hurler par terre; c'est alors que mon épouse appela le service des urgences.

Un Docteur arriva et appela une ambulance, car il savait ce qui n'allait pas avec moi. L'ambulance nous conduisit à environ 5 kilomètres à travers la ville, à un hôpital publique. Je fus conduit lorsque nous sommes arrivés dans la salle des urgences et fut examiné par plus de 2 Docteurs qui savaient exactement ce qui n'allait pas avec moi. Puis je fus transporté en chirurgie.

Mais dut au fait qu'il n'y avait pas de chirurgien disponible, je fus garé là bas à l'attente d'un chirurgien. J'étais simplement couché là sur place pour à peu près 8 à 10 heures, dans cet hôpital, n'ayant reçu et ne recevant aucun médicament, aucun examen, aucune attention du tout, dans l'attente qu'un chirurgien arrive et me fasse une opération critique.

Alors, à 8:30 dans la nuit, une infirmière vint et me dit qu'ils étaient vraiment désolés, mais qu'ils n'avaient pas pu trouver un chirurgien disponible pour moi, et qu'ils allaient me trouver un chirurgien le lendemain. Lorsqu'elle m'annonça cette nouvelle, je sus que c'était terminé pour moi, je sus que j'étais mort. La seule chose qui me maintenait en vie était le fait que je ne voulais pas mourir.

Je savais que j'étais un athée, un non croyant, et que j'étais une personne qui vivait pour sa propre gratification.

Mis à part la douleur que je ressentais, mourir était la pire des choses qui puisse m'arriver car cela signifiait la fin de la vie, et il n'y aura plus rien du tout. Lorsque l'infirmière m'annonça qu'aucun chirurgien n'était disponible, l'idée d'essayer de survivre pour une minute de plus ou pour une heure de plus avec cette douleur ne valait plus la peine. J'avais supporté et attendu pendant tout ce temps dans l'espoir qu'ils trouveraient un médecin qui allait m'opérer et fixer le problème. Mais lorsqu'ils me dirent qu'ils ne pouvaient pas me trouver de docteur; je dis alors à mon épouse qu'il est temps de se dire au revoir, car je vais mourir maintenant. Alors elle se leva et m'entoura de ses bras, elle me dit à quel point elle m'aimait, et je lui dis aussi à quel point je l'aimais, c'était très triste. Nous nous sommes dit notre au revoir; nous nous sommes dit ces choses dont on se dit après avoir vécu ensemble pendant 20 ans. Elle s'assit finalement car elle sut que c'était terminé, et je le savais aussi.

C'était très pénible de la regarder pleurer ainsi, alors je fermai les yeux et me suis tout simplement laissé aller. Je devins inconscient. Je fus probablement inconscient juste pour une courte période, pour quelques minutes à peu près. Puis je redevins encore conscient. J'ouvris mes yeux et vis que je me tenais à coté de mon lit. Je savais exactement où je me trouvais, et quelle était la situation, il y avait aucune confusion dans ma pensée. Je me sentais en vie, le plus réellement que je ne l'avais jamais ressenti dans ma vie. Les gens me demandent souvent: “étais-tu un fantôme?” J'étais simplement l'opposé, j'étais très bien vivant.

Comme je regardais autour de la pièce, je me rendis compte qu'il y avait quelque chose en dessous des draps du lit, un corps. Alors je me suis courbé au dessus du lit afin de voir le visage et ce visage ressemblait au mien. Mais ceci n'est pas possible, je suis vivant, je suis bien, je suis plus que vivant. Alors j'essayai de parler à mon épouse, mais elle ne pouvait ni m'entendre, ni me voir. Je me mis à penser qu'elle était tout simplement entrain de m'ignorer; alors je me mis en colère contre elle à cause du fait qu'elle m'ignorait. Puis je me mis à gueuler sur elle: “Pourquoi y a t il ce corps sur le lit qui me ressemble? Comment est-il arrivé là?” J'avais une petite suspicion que ce corps était moi, mais c'était très effrayant d'y penser. Alors, j'ai sérieusement commencé à m'agiter et à m'énerver; car ceci est très bizarre, ceci ne peut pas être entrain d'arriver, ceci est impossible; j'enfilais une blouse d'hôpital et tout est très réel.

J'entendis les gens m'appeler hors de la salle d'une voix si douce disant: “Howard, tu dois venir avec nous maintenant. Viens rapidement, sort de cette salle.” Alors je me dirigeai vers la sortie de la pièce. Ils étaient à l'extérieur de la pièce, dans le couloir. Le couloir était bizarre, gris, ni éclairé, ni sombre, mais simplement gris. Tout ces hommes et femmes, tous de gris vêtu de ce qui ne pouvait être simplement un uniforme d'hôpital, m'attendaient. Je leur demandai alors s'ils venaient de la part du docteur pour n'emmener à la salle d'opération. Je leur expliquai alors toute ma situation et comment j'avais attendu pendant longtemps; et ils continuaient à me dire: “Nous le savons, nous le savons, nous comprenons. Howard dépêche-toi, viens avec nous, nous t'attendions.

J'avais quitté la salle qui était absolument éclairée et illuminée, et étais allé dans le couloir qui était bizarre et brumeux. Je suivais ces gens; avec lesquels nous firent un très long voyage. Il n' y a aucune notion du temps, et lorsque je fais allusion au temps, il ne s'agit que d'une illusion car il y a aucune notion du temps dans cet endroit. Mais cet endroit, s'il me fallait recréer la marche avec ces gens, je dirais que nous avions parcouru si je peux le dire, la distance de Nashville à Louisville (175 miles, 281 km).

Au fur et à mesure que nous avancions, ils restaient autour de moi, me poussant à m'avancer, et il faisait de plus en plus obscur, au fur et à mesure que nous avancions. Ils devenaient aussi ouvertement de plus en plus hostiles en vers moi. Premièrement, ils étaient mielleusement gentils avec moi dans le but de me faire partir avec eux. Puis lorsque je m'avançais avec eux, alors ils commencèrent à dire des paroles telles que: “dépêche-toi, avance, tais-toi, arrête de poser des questions”; puis, cela devint pire.

Alors nous sommes entré dans une obscurité totale, et je fus absolument terrifié. Ces gens devinrent très hostiles en vers moi et je ne savais absolument pas où je me trouvais; alors je dis: “Je ne ferai pas un pas de plus avec vous.” Ils dirent: “Tu y es presque.” Alors, nous avons commencé à bagarrer tout en essayant de m'éloigner d'eux. Ils me poussaient et me tiraient. Ils étaient maintenant très nombreux. Originairement ils n'étaient qu'une poignée de personnes, mais maintenant dans l'obscurité, ils auraient bien pu être des centaines ou des milliers, je ne le savait pas. Ils jouaient avec moi; ils auraient pu me détruire s'ils le voulaient mais ils ne voulaient pas le faire. Ils voulaient simplement m'infliger la douleur car ils en tiraient une entière satisfaction des douleurs que je ressentais. Cela m'est vraiment très difficile d'en parler à propos, d'où je ne vous dirais pas grand chose sur ces douleurs; car cela devint très horrible.

Initialement, ils me déchiraient avec leurs ongles, me grattaient, me creusaient, m'arrachaient la chair et me mordaient. J'essayais de me défendre, essayant de me battre pour pouvoir m'enfuir, mais cela m'étais impossible et c'était comme si je me trouvais dans une ruche d'abeilles, ils étaient des centaines de personnes jetées sur moi, me combattant.

C'est alors qu'après cela, j'étais allongé par terre; tout déchiqueté ayant des douleurs partout; que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur de moi. Mais alors il m'était encore possible de supporter la douleur physique, que de supporter la douleur émotionnelle, d'où émanait une dégradation absolue de moi. Mais une chose étrange était que à aucun moment, et même pas une seule fois je n'avais jamais ressenti que ce traitement que je subissais était injuste ou pas correct.

J'entendis ma voix, pas la voix de quelqu'un d'autre, ou la voix de Dieu, mais ma propre voix, mais je n'avais pas parlé. Peut être c'était ma conscience, je ne sais pas, mais je l'entendis distinctement me dire: “Prie à Dieu!” Alors, je raisonnai en moi même pensant: “Je ne crois pas en Dieu.” Je pensai: “même si je devais prier, je ne sais plus comment prier.” Car je n'avais plus prié pendant à peu près 23 ans. Lorsque j'étais enfant, nous avions l'habitude de prier à l'école du dimanche et à l'Église. Je commençai donc à essayer de me souvenir de ces prières. Pour moi, prier signifiait juste réciter quelque chose que j'avais appris.

L'Éternel est mon berger, donne nous aujourd'hui notre pain de ce jour, mon pays ceci et cela. Attends ceci n'est pas une prière. Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, à cet égard et il y a de cela sept ans, nos ancêtres…” Je suis en train de tout mélanger, de m'embrouiller, je n'arrive pas à me souvenir de comment prier.

Je remarquai que à chaque fois que je mentionnais le nom de Dieu à ces gens qui me torturaient, que cela était comme ci je versais de l'eau chaude sur elles. Alors elles hurlaient, criaient, et gueulaient. Elles professaient donc la pire des grossièretés que je n’ai jamais entendu dans ce monde. Elles ne supportaient pas être à mes cotés lorsque je parlais de Dieu. Cela leur était si pénible d'entendre parler de Dieu, qu'elles commencèrent et continuèrent à s'éloigner. Alors je me rendis compte que je pouvais les repousser tout simplement en parlant de Dieu. Alors je commençai à essayer de me souvenir des prières, mais j'étais confus et embrouillé.

Éventuellement, je m'aperçus qu'ils étaient partis et que j'étais là toute seule. J'étais là tout seule pour ce qui me semblait être une éternité, ce que je veux dire c'est que je n'avais aucune notion du temps. Alors, je me mis à penser à ma vie, je pensai à ce que j'avais fait, et à ce que je n'avais pas fait. Je pensai à cette situation dans laquelle je me trouvais. Et j'arrivai à la conclusion que ma vie adulte tout entière était égoïste, et que mon seul dieu c'était moi- même. Je réalisai qu'il y avait quelque chose qui n'allait du tout pas dans ma vie, et que les gens qui m'avaient attaqué étaient exactement le même genre de personne que j'étais.

Ce n'étaient pas des monstres, ni des démons; mais c'étaient des gens qui étaient complètement passé à côté. Ils étaient passés à côté de la raison pour laquelle nous sommes en vie dans ce monde; ils ont vécu une vie d'égoïste et de cruauté.

Et maintenant, j'étais dans un monde où il n'y a rien du tout; rien d'autre que l'égoïsme et la cruauté. Ils étaient condamné à s'infliger cela, non seulement aux uns et aux autres, mais aussi à eux-mêmes pour toujours, pour toujours. Et je sais que je faisais parti de ce monde. Bien que je ne voulais pas être là, il me semblait que c'était la juste place où je devais être.

Je ressenti que ceci était ce que je méritais, parce que ceci était la façon que j'avais vécu. Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point cela était douloureux sur le plan émotionnel. J'étais allongé là par terre pendant un temps infini, à penser à mon sort. C'est alors qu'à l'arrière de ma pensée, surgi une image de moi lorsque j'étais enfant, assis dans une classe d'école du dimanche, chantant Jésus M'Aime. “Jésus m'aime, la la la, Jésus m'aime, la la la.” Je pouvais m'entendre chanter cette chanson comme un enfant. Mais la chose la plus importante encore était le fait que je pouvais le ressentir dans mon cœur.

Il fut un temps dans ma vie où j'étais jeune et innocent et croyais en quelque chose de bien, où je croyais en quelqu'un d'autre que moi. Je croyais en quelqu'un qui était complètement bon et tout puissant, qui avait réellement et réellement soin de moi, et je revoulais avoir cela; ravoir ce que j'avais perdu, ce que j'avais rejeté, trahi, je le voulais, je voulais ravoir cela. Je ne connaissais pas Jésus, mais je voulais connaître Jésus. Je ne connaissais pas Son amour, mais, je voulais connaître Son amour. Je ne savais pas s'Il était réel, mais je voulais qu'Il soit réel.

Il fut un temps dans ma vie où je crus en quelque chose, et je voulais croire que cela était vrai. Alors, je commençai à m'écrier dans les ténèbres : “Jésus, s'il te plait sauve-moi!” et Il vint.

Premièrement, il eut un tout petit semblant de lumière dans l'obscurité, très rapidement, elle devint éclatante. La lumière devint si éclatante que dans le monde physique, elle m'aurait consumé. Elle m'aurait cuite comme une frite de patate. Mais ce n'était ni chaud, ou ni dangereux dans cette lumière. Il était dans cette lumière, Il se courba et tout doucement, commença à me soulever. Dans cette lumière, je pouvais voir que j'étais complètement, horriblement saignant, sale, et que j'avais des blessures partout sur le corps; je ressemblais à quelqu'un qui était mort d'un accident de voiture. Il plaça doucement Ses mains en dessous de moi et me pris tendrement du sol.

Alors, lorsqu'Il me toucha, toutes les blessures, les douleurs, et la saleté disparurent à l'instant. Elles s'évaporèrent juste comme ça, et je redevins bien et guéri. Et à l'intérieur, je fus simplement rempli par Son amour. Oh!, si je pouvais seulement l'expliquer; ce que je ressentis. C'est très frustrant de ne pas pouvoir parler de cela aux gens, car ceci fut la meilleur chose qui m'ai jamais arrivé dans ma vie; ceci me rendit complet. C'était l'ultime TOUT de la vie, le fait de connaître cet amour, et je ne peux simplement pas vous le décrire avec des mots.

Alors, Il me prit dans ses bras, m'embrassa, caressant mon dos, comme un père le fais à son fils, et comme une mère le fait à sa fille, caressant simplement et tendrement mon dos. Je jacassais de joie comme un enfant, du fait que j'étais perdu, et maintenant avais été retrouvé; et que j'étais mort et avait été ramené à la vie. Il me sorti de là, et nous nous sommes simplement envoler pour sortir de là. Nous nous dirigions vers un monde de lumière, et je commençai à avoir des pensées de grande honte. J'avais été si mauvais que je me voyais comme étant sale, et comme ayant une sale ordure. Et je me mis à penser en moi:“Il a fait une erreur, je n’appartiens pas à ici, Il ne veut pas de moi ici.” Comment pouvait-Il avoir soin moi, pourquoi moi, je suis mauvais. Alors nous nous sommes arrêté, nous n'étions plus en enfer; nous n'étions non pas au Paradis; mais nous étions entre les deux. Il dit: “Nous ne faisons pas d'erreurs, tu appartiens à ici.” Alors, nous avons commencé à converser et Il me disait des choses. Il fit venir des anges qui me présentèrent ma vie du début à la fin. Ils me montrèrent ce que j'avais fait de bien et ce que j'avais fais de mal. Et cela était très simple. Lorsque j'avais été une personne aimable et gentille, prenant les autres en considération, cela faisait plaisir aux anges, cela faisait plaisir à Jésus, et Ils me firent savoir que cela avait fait plaisir à Dieu. Lorsque j'avais été égoïste et manipulateur, cela déplaisait aux anges, cela déplaisait à Jésus, et Ils me firent savoir que cela avait déplu à Dieu.

Ce qu'Ils essayaient de me faire comprendre en gros, était que ma seule et unique raison d'existence était celle d'aimer Dieu et d'aimer mon prochain comme moi-même. Ceci est la raison pour laquelle j'avais été créé, ceci c'est ce que j'étais dans ce monde pour faire et pour apprendre. Mais j'avais échoué, et Ils me dirent que j'avais besoin de revenir sur terre, et je me mis vraiment en colère, parce que je voulais aller au Paradis. Ce qu'Ils me dirent concernant le Paradis fut que c'était l'endroit le plus plaisant, le plus intéressante et le plus merveilleux. Toute personne aimerait aller au Paradis, et moi je voulais arriver là bas. Ils me dirent que je n'étais pas prêt, que je n'étais pas en forme, que ce n'était pas le temps pour moi d'aller au Paradis. C'était plutôt le temps pour moi de retourner dans ce monde et d'essayer de vivre de la façon que Dieu voulait que je vive, de la façon qu'Il m'a créé pour vivre.

Je dis à Jésus et aux anges que je ne pouvais pas vivre dans ce monde sans Eux. Je leur dis que j'aurais le cœur brisé s'Ils me renvoyaient dans ce monde. Ils ont été là et Je serais là. Ils me dirent: “Tu ne comprends donc rien? C'est quoi le problème? SI nous sommes entrain de te montrer toutes ces choses, c'est parce que Nous avons toujours été là. Nous avons été avec toi pendant tout ce temps. Et tu n'as jamais été seule là en bas.

Je dis: “Vous devez me faire savoir que Vous êtes là de temps en temps.” Alors Ils me dirent si je prie et confesse mes péchés à Dieu, si je donne ce que j'ai à Dieu, ceci signifiant Lui donner mes soucis, mes besoins, mes espoirs, et mes rêves, simplement tout abandonner à Dieu, alors, il y aura des moments où je saurais dans mon cœur qu'Ils sont présents. Peut-être pas nécessairement les voir, mais je ressentirais l'amour comme celui que j'ai ressenti avant. Je leur dit que s'Ils pouvaient m'assurer qu'il y aurait des jours où je pourrais connaître cet amour, c'est que je pourrais alors vivre dans ce monde. Ils me dirent qu'Ils allaient le faire, et sur ce, Ils me renvoyèrent sur terre.

Après cette expérience, l'infirmière qui m'avait dit qu'ils n'arrivaient à trouver un Docteur, rentra en courant dans la salle et dit qu'un docteur était arrivé à l'hôpital et ceci est une chose assez miraculeuse, car c'était entre 9 ou 9:30 de la nuit. Elle dit que le docteur est arrivé à l'hôpital et que nous allons t'opérer immédiatement. Sur ce, certaines personne arrivèrent dans la salle et firent sortir ma femme de la salle. Cela était très troublant, car j'essayais de leur dire que je voulais raconter à ma femme ce qui m'était arrivé. Alors, lorsque je passai ma femme dans le couloir en chemin pour le bloc opératoire, je lui dis que tout se passerai bien. Et elle commença à murmurer(?) …, il est comme un homme mourant.

La chose étrange par rapport à cette expérience est le fait que ma mémoire n'a pas du tout été ternie. Elle est réellement bonne, et je ne sais pas pourquoi, mais elle est restée intacte. Je crois que l'une des raisons pour laquelle Dieu m'a accordé cette expérience, c'est que j'aurais l'opportunité de la partager avec quelqu'un. Je ne sais pas qui cela peut bien être et je ne le saurais jamais. Mais j'aurais l'opportunité de la partager avec des gens afin que cela puisse être une aide pour eux.